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L’adolescence

Pour les adolescents

Pour toi, la puberté, avec tous les changements que cela entraine, se passe bien… ou t’angoisse un peu ?

Tu as un smartphone, une tablette, un ordinateur et une ou plusieurs consoles de jeux, mais arrives-tu à ce que cela ne te prenne pas plus d’une heure par jour ou un peu plus ?

Ta scolarité se passe sans difficulté, tu es motivé par l’école, les devoirs ont du sens pour toi, tu sais déjà ce que tu veux faire dans la vie, ou bien tu as encore des doutes ?

Tes parents vivent ensemble ou sont séparés, tu as des beaux-parents, des demi- frères et sœurs, mais cela ne  perturbe pas tes repères ou un peu quand même ?

Si tes parents sont d’accord, je te propose un espace de paroles et d’échanges, je te garantis la confidentialité.

Il est possible que de temps en temps nous ayons besoin d’inviter tes parents à venir nous rejoindre. Dans ce cas-là, nous préparons ensemble cette rencontre.

Pour les parents

Votre enfant grandit. Il rentre dans l’adolescence. Cela va-t-il être « la crise » ?

Eh bien, première bonne nouvelle, la « crise » n’est pas obligatoire, ni nécessaire.

Deuxième bonne nouvelle, il est tout à fait possible de rendre cette période de vie supportable voire agréable pour tout le monde, même s'il y a quelques moments de tensions et des ajustements à faire de part et d’autre.

Le mot adolescent trouve sa racine dans « Adolescere » c’est-à-dire grandir. Physiologiquement, sous l’effet de la puberté, le corps de l’enfant a une poussée de croissance et consécutivement sous l’effet des hormones, il est submergé pas des pulsions. Cela fait  beaucoup de changements en peu de temps et c’est un facteur important de stress et d’angoisse pour lui.

Votre enfant va devoir passer de la dépendance à l’indépendance, tout en étant sûr de garder l’amour et  l’attention de ses parents. Il s’agit de quitter un espace sécurisé, où il  a tous ses repères, pour le vaste monde.

Il y a donc un double mouvement : « je m’oppose à mes parents, à l’autorité, pour faire l’expérience que j’existe seul ; et j’ai besoin de sentir que mes parents sont là pour me soutenir et me guider dans ce nouvel espace ».

On retrouve ce double mouvement chez les parents, qui sous une  forme extrême  pourrait être: « je veux que tu restes un enfant » et dans le même temps « je veux que tu prennes ton indépendance ».

Une fois que l’on a compris ces différents mouvements, il s’agit de faire régulièrement et progressivement les ajustements nécessaire et acceptable pour chacun.

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